de R. Queneau. Mise en scène : Sylvie Mandier.
Avec Francisca Rosell-Garcia ou Marguerite Dabrin, Sylvie Mandier ou Virginie Georges, Vincent Domenach ou Charles Lépine et Christian Geffroy.
Costumes : Hubert Arvet-Thouvet.
Lumières: Julien Jedliczka.
Musique : Cédric Tagnon.
Éléments scéniques : Amaya Eguizabal.
À la suite de passants drôles et touchants,
glissons-nous dans le couloir du métro parisien pour un moment
d'évasion et laissons-nous emporter dans un chassé-croisé doux-amer
entre rêve et réalité.
« […] Les deux actes, qui contiennent dans leur succession la mise en abyme du rêve et de l’illusion, la fugacité du bonheur, l’impossibilité de peser sur le temps et sur la destinée, la vanité du dialogue amoureux, le poids du réel, s’imposent comme du vrai, du beau théâtre. La virtuosité des comédiens, la précision de la mise en scène permettent au comique, au poétique, au tragique de se côtoyer, de se mêler sans se heurter. L’ensemble est séduisant. Passant, arrête-toi au Théâtre du Marais, le temps d’une visite dans les couloirs du métro… Tu ne le perdras pas, ce temps. »
Jean-Pierre Longre
Blog Notes et Chroniques (14.05.2010)
http://jplongre.hautetfort.com
« Il faut une belle dose d’audace
pour monter En passant : la pièce est courte […]. Sylvie Mandier,
avec la compagnie Esperluète and Co, a relevé le défi et s’en tire
avec élégance.[…] Voir et ouïr les mots de Queneau, être devant ses
personnages incarnés en chair en os, et en talent de
comédien(ne)s est toujours une expérience gratifiante.[…] »
Victor Batignol
Revue d’études sur Raymond Queneau n°56-57 « Ouvroirs »
Les amis de Valentin Brû